sexta-feira, 21 de fevereiro de 2014

DEVER DE MEMÓRIA



Il y a soixante-dix ans, le 21 février 1944, en milieu d’après-midi, vingt-deux jeunes hommes (les deux plus jeunes avaient 19 ans et le plus âgé 46 ans) étaient fusillés par les nazis au Mont-Valérien. La seule femme du groupe, Olga Bancic, n’eut pas eu le droit de mourir avec ses camarades de combat: emmenée en Allemagne, elle sera décapitée à la prison de Stuttgart.
Epopée héroïque
Ainsi prenait fin l’épopée héroïque du groupe FTP-MOI de la région parisienne, dirigé par le militant communiste et poète arménien MIssak Manouchian. Six mois plus tard, Paris serait libéré, mais pour l’heure, les nazis et leurs supplétifs parisiens de la police de René Bousquet se vengeaient, tant qu’ils le pouvaient encore.