«Le calme des individus, des sociétés, s'obtient par l'exercice de forces coercitives d'une violence telle qu'elle n'est plus nécessaire et passe inaperçue. Pour contraindre les passions à s'exprimer seulement dans les chambres, l'intimité, ou dans les catastrophes; pour juguler les cris de souffrance (ou d'amour), les plaintes de la misère, les gémissements des vieux, la colère des pauvres; pour endormir ceux qu'on assassine, leur vie durant, tout en maintenant ce qu'il leur faut de vie pour qu'elle profite à d'autres».