terça-feira, 21 de abril de 2009

UM IMENSO ADEUS


«Le calme des individus, des sociétés, s'obtient par l'exercice de forces coercitives d'une violence telle qu'elle n'est plus nécessaire et passe inaperçue. Pour contraindre les passions à s'exprimer seulement dans les chambres, l'intimité, ou dans les catastrophes; pour juguler les cris de souffrance (ou d'amour), les plaintes de la misère, les gémissements des vieux, la colère des pauvres; pour endormir ceux qu'on assassine, leur vie durant, tout en maintenant ce qu'il leur faut de vie pour qu'elle profite à d'autres».